Revue de presse
Avec ce nouveau volume, nous reprenons les aventures du freeter et de ses parents, dont la mère a contracté un emprunt auprès d'Ushijima ( surnommé Tajima pour l'occasion ) afin d'acheter des actions qui sont censées remonter en bourse selon les dires d'un spécialiste véreux ami d'Ushijima...
En parallèle des mésaventures de cette maman complètement perdue et exploitée par ces voleurs, son freeter de fils essaie sans y parvenir à refaire surface et à se réintégrer dans la société au travers tout d'abord d'un emploi, auquel il n'ira pas... son manque de confiance en lui l'en empêchant... Son décalage par rapport à la vie et aux autres ne lui fait pas prendre conscience de son état même lorsqu'il croise une connaissance du lycée, selon lui ce sont les autres qui sont responsables de son état... même lorsqu'il réceptionne les lettres d'assignation pour sa mère qu'il oublie négligemment de lui remettre...
L'auteur replonge à nouveau la famille dans le désarroi lorsqu'Ushijima apprend qu'elle possède une maison hypothéquée et que la grand mère de la famille également, s'engage alors des rendez vous douteux avec des spécialistes de revente immobilière rapide... tout s'accélère, la dette a été enregistré, il est trop tard, et Ushijima comme à l'habitude à l'aide d'un complice vide le compte alors fournie par la vente de la vente de la maison de la grand mère de cette mère affolée...
Le freeter ne comprenant que trop tard que c'est de sa faute si les lettres d'assignation sont restées sans réponse...
Toujours plus sombre et sournois, Ushijima sonne vrai ... à l'heure actuelle, où plus rien n'apparaît certain, et où l'on imagine que certains profitent de ces situations complètement graves, tristes et impensables, on ne peut que constater les dégâts tardifs de ces crédits à la consommation...
Une oeuvre génialement noire, malheureusement vraie et probable pas seulement au Japon...
daigoro
(Critique de www.manga-news.com)Dernier exemplaire disponible
Fecha de lanzamiento: 13/11/2008