Extrait
Neyef est un gars cool, qui en a grave sous le capot
Il avait déjà sévi dans DoggyBags 3 : Roorn 213. Une histoire de narcos mexicains que j'avais écrite spécialement pour lui. Son style riche et incisif m'avait beaucoup plu, et promettait du lourd pour l'avenir. Quelques semaine après la sortie de ce Doggy spécial Mexique, j'ai reçu South Central Stories dans ma boîte mail. En découvrant le planches-test, j'ai tout de suite accroché. Son graphisme s'était affirmé, l'univers me parlait, et la narration originale cadrait parfaitement avec l'esprit "DoggyBags". Cependant l'histoire qu'il voulait raconter nécessitait plus de trente-cinq pages pour résonner pleinement et prendre toute l'ampleur qu'elle méritait.
C'est ainsi que nous avons fait évoluer le concept original de "DoggyBags". Là où la série originale propose trois histoires de trois auteurs différents, "DoggyBags présente" mettra en lumière un seul auteur, au travers d'un one-shot découpé en trois actes. Les références quant à elles restent les mêmes : l'exploitation sous toutes ses formes, la culture du crime et de l'horreur, le suspense et la violence... Un twist vicieux... Plus deux ou trois trucs pour apprendre, se cultiver et ainsi briller dans la haute société, ou lors d'un repas chez les beaux-parents... Yuck continue pour sa part de nous régaler de ses vilaines pubs drôles et infamantes. Bref, si "DoggyBags" est un triptyque de courts-métrages entrecoupé de pubs, "DoggyBags présente" est un long-métrage ponctué de trois entractes... qu'on materait au volant de sa bagnole, dans un ghetto drive-in du sud de la Californie.
Le Label et moi sommes fiers de vous présenter South Central Stories. Une plongée dans l'univers fiévreux des gangs de rue de Los Angeles, quelques années après les émeutes de 92. Un chassé-croisé de personnages attachants, dont les destins sont brillamment entremêlés par un Neyef en pleine révélation de son talent, et qui est loin d'avoir vendu son âme au Diable !
"Différent day, same shit, ain't nothing good in the hood,
l'd run away from this bitch and never come back if I could..
Il avait déjà sévi dans DoggyBags 3 : Roorn 213. Une histoire de narcos mexicains que j'avais écrite spécialement pour lui. Son style riche et incisif m'avait beaucoup plu, et promettait du lourd pour l'avenir. Quelques semaine après la sortie de ce Doggy spécial Mexique, j'ai reçu South Central Stories dans ma boîte mail. En découvrant le planches-test, j'ai tout de suite accroché. Son graphisme s'était affirmé, l'univers me parlait, et la narration originale cadrait parfaitement avec l'esprit "DoggyBags". Cependant l'histoire qu'il voulait raconter nécessitait plus de trente-cinq pages pour résonner pleinement et prendre toute l'ampleur qu'elle méritait.
C'est ainsi que nous avons fait évoluer le concept original de "DoggyBags". Là où la série originale propose trois histoires de trois auteurs différents, "DoggyBags présente" mettra en lumière un seul auteur, au travers d'un one-shot découpé en trois actes. Les références quant à elles restent les mêmes : l'exploitation sous toutes ses formes, la culture du crime et de l'horreur, le suspense et la violence... Un twist vicieux... Plus deux ou trois trucs pour apprendre, se cultiver et ainsi briller dans la haute société, ou lors d'un repas chez les beaux-parents... Yuck continue pour sa part de nous régaler de ses vilaines pubs drôles et infamantes. Bref, si "DoggyBags" est un triptyque de courts-métrages entrecoupé de pubs, "DoggyBags présente" est un long-métrage ponctué de trois entractes... qu'on materait au volant de sa bagnole, dans un ghetto drive-in du sud de la Californie.
Le Label et moi sommes fiers de vous présenter South Central Stories. Une plongée dans l'univers fiévreux des gangs de rue de Los Angeles, quelques années après les émeutes de 92. Un chassé-croisé de personnages attachants, dont les destins sont brillamment entremêlés par un Neyef en pleine révélation de son talent, et qui est loin d'avoir vendu son âme au Diable !
"Différent day, same shit, ain't nothing good in the hood,
l'd run away from this bitch and never come back if I could..
Dernier exemplaire disponible
Fecha de lanzamiento: 13/02/2014