Extrait
Au passage, quand on prépare un Doggy, on ne cherche pas le second degré. On est dans l'hommage brut et premier degré de l'exploitation sous toutes ses formes, ce qui n'empêche pas quelques virgules humoristiques. Quand on décortique, c'est globalement le packaging général et la charte qui apportent la touche "clin d'oeil". Mais dans les récits, on croit à nos histoires, on ne méprise pas nos personnages ni leurs univers. On laisse ça à la parodie... et on déteste la parodie.
Les dossiers parodiques que je reçois pour Doggy sont légion... J'étais donc d'autant plus content de tomber sur "Trapped" il y a quelques mois. Tomeus et El Puerto sont de jeunes auteurs qui ont une belle énergie, qui ont compris l'esprit Doggy, et qui étaient très motivés. Alors que demander de plus ?
Kartinka est lui aussi un nouvel auteur, qui nous a apporté son projet, pas tout à fait mûr, mais avec un vrai potentiel. On l'a pris en mains avec Aurélien Ducoudray, pour aboutir à un concept un peu plus précis et cohérent : "Death of a Nation". J'adore travailler en équipe, car beaucoup de choses éclosent et se développent par l'échange. C'est une excellente méthode de travail pour DoggyBags.
Je ne suis pas à proprement parler auteur dans ce Doggy 5. Même si mon ombre plane toujours au-dessus. Doggy est un travail d'équipe qui me plaît énormément. J'aime travailler avec des auteurs, des graphistes, et des fabricants motivés et motivants, et sur ce tome 5 je n'ai pas été déçu.
Au regard des nouvelles recrues majoritaires dans ce numéro, Neyef fait figure de vétéran avec une participation au Doggy 3, et le one shot DoggyBags présente : South Central Stories. Aurélien de papa, car sa biblio commence à peser lourd dans le book-game. Moi je veille sur tout ça, je fédère les énergies, comme le vieux Crazy Horse canalisait ses guerriers Lakotas.
Un jour prochain Doggy n'aura plus du tout besoin de moi. Ce jour-là, je prendrai mes cliques et mes claquettes, et j'irai faire de la Xbox One en enfer. J'espère que ce jour est loin... En attendant, le Label et moi sommes fiers de vous présenter le tout nouveau numéro de DoggyBags. Un numéro qui envoie le boulet de canon, comme aurait dit Shawn Nelson.
Les dossiers parodiques que je reçois pour Doggy sont légion... J'étais donc d'autant plus content de tomber sur "Trapped" il y a quelques mois. Tomeus et El Puerto sont de jeunes auteurs qui ont une belle énergie, qui ont compris l'esprit Doggy, et qui étaient très motivés. Alors que demander de plus ?
Kartinka est lui aussi un nouvel auteur, qui nous a apporté son projet, pas tout à fait mûr, mais avec un vrai potentiel. On l'a pris en mains avec Aurélien Ducoudray, pour aboutir à un concept un peu plus précis et cohérent : "Death of a Nation". J'adore travailler en équipe, car beaucoup de choses éclosent et se développent par l'échange. C'est une excellente méthode de travail pour DoggyBags.
Je ne suis pas à proprement parler auteur dans ce Doggy 5. Même si mon ombre plane toujours au-dessus. Doggy est un travail d'équipe qui me plaît énormément. J'aime travailler avec des auteurs, des graphistes, et des fabricants motivés et motivants, et sur ce tome 5 je n'ai pas été déçu.
Au regard des nouvelles recrues majoritaires dans ce numéro, Neyef fait figure de vétéran avec une participation au Doggy 3, et le one shot DoggyBags présente : South Central Stories. Aurélien de papa, car sa biblio commence à peser lourd dans le book-game. Moi je veille sur tout ça, je fédère les énergies, comme le vieux Crazy Horse canalisait ses guerriers Lakotas.
Un jour prochain Doggy n'aura plus du tout besoin de moi. Ce jour-là, je prendrai mes cliques et mes claquettes, et j'irai faire de la Xbox One en enfer. J'espère que ce jour est loin... En attendant, le Label et moi sommes fiers de vous présenter le tout nouveau numéro de DoggyBags. Un numéro qui envoie le boulet de canon, comme aurait dit Shawn Nelson.
Dernier exemplaire disponible
Release date: 24/04/2014